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Genèse
Victor Hugo assiste à plusieurs reprises au spectacle de la guillotine et s’indigne que la société se permette de faire de sang-froid ce qu’elle accuse l’accusé de faire. Le lendemain de la traversée de la place de la mairie, le bourreau huilait la guillotine et attendait son exécution le soir même où Victor Hugo commençait à écrire son dernier jour d’un prisonnier Bientôt 2. Le livre est publié par l’éditeur Charles Gosselin en février 1829, mais il n’est pas signé. A peine trois ans plus tard, le 15 mars 1832, Victor Hugo termine son roman dont il signe la longue préface.

résumer
Le roman est le journal d’un condamné pendant les vingt-quatre dernières heures de sa vie, dans lequel il raconte sa vie depuis la condamnation de son procès jusqu’au moment de son exécution, le jour où il a été exécuté. semaines. L’histoire est un long monologue intérieur entrecoupé de réflexions douloureuses et de souvenirs de sa vie passée. Le lecteur ne connaît pas le nom de l’homme ni ce qu’il a fait pour être condamné, à l’exception d’une phrase : « Moi, le pauvre misérable qui a commis le vrai crime, j’ai saigné ! ». L’ouvrage se présente sous la forme d’un témoignage brut, tant le la souffrance du condamné et ses dernières pensées, la douleur mentale et physique qu’il subit au quotidien, et les conditions de vie du prisonnier, par exemple dans la scène de ferrer le criminel.Il exprime ses sentiments sur ses sentiments de vie passés et humeur.

Il sera exécuté au milieu du tumulte des gens qui voient sa mort comme un spectacle.

la réception
Avant que son ouvrage ne soit publié, Victor Hugo le lut à quelques-uns de ses amis, et c’est Édouard Beldin qui encouragea la publication du roman par l’éditeur Charles Gosselin, qui avait déjà repris l’œuvre d’édition d’Orient. Celui-ci, dans une lettre à Victor Hugo, évoque ses craintes que ce roman sans action ne fatigue le lecteur, que le manque d’informations sur les condamnés à mort ne nuise à la compréhension de l’histoire, et que Victor Hugo se soit vu conseiller de compléter son Histoire du Criminel Victor Hugo a poliment mais fermement refusé de suivre ces consignes 3.

Pourtant, ce sont ces deux points qui feront l’objet de nombreuses critiques à la sortie du livre. Dès le 3 février 1829, Jules Janin critique l’ouvrage de La Quotidienne, le présentant comme un long et douloureux 300 pages, et comme un plaidoyer contre la peine de mort sous prétexte que « le drame ne prouve rien » 4 Toute validité y est reconnue.

Désiré Nisard parle d’un travail inutile qui ne fait pas avancer la cause qu’elle défend, “le problème (de la peine de mort) est un pas vers une solution (…) je ne pense pas” et lui reproche une terreur injustifiée. comprendre que le caractère du condamné était si ambigu, et commenta : « On est indifférent à cet homme qui ne ressemble à personne » (26 février 1829) 5. Certaines personnes ont accusé le livre de simplement plagier des livres britanniques et américains6. Il était considéré comme l’œuvre d’une imagination macabre aux ressources romantiques limitées.

Sensible à ces critiques, Victor Hugo les parodiera dans sa préface du 24 février 1829, et justifiera son choix de l’anonymat pour les condamnés à mort : le livre se veut « Défense universelle et permanente de tous les prévenus ».

Cependant, d’autres auteurs l’ont défendu. Sainte-Beuve écrivait : « Jamais auparavant la fibre la plus délicate et la plus vitale de l’âme n’a été aussi exposée et libérée à ce point ; c’était comme si on vivisectionnait le cerveau d’un condamné », précise Alfred de Alfred de Vigny dans sa lettre du 9 février 1829 : « Vous êtes partout, toujours une couleur éblouissante, toujours une émotion profonde, toujours une vérité satisfaisante, toujours de la poésie. Ils ont reconnu sa valeur publicitaire et sa puissance romanesque dans l’œuvre. » Gustave Vapereau rapporte dans son Dictionnaire universel de l’art contemporain que le travail a fini par être reconnu pour “la puissance de la pensée et la profondeur de l’analyse”.

Une longue préface en 1832 donnerait à l’ouvrage sa force argumentative, et on l’a accusé d’être absent.

avant-propos
Victor Hugo a écrit trois préfaces au livre.

Dans la première édition, Victor Hugo décrivait l’ouvrage comme le journal d’un prisonnier ou comme l’œuvre d’un philosophe ou d’un poète. Victor Hugo laisse donc au lecteur le soin de trancher. Le livre a ensuite été publié sans le nom de l’auteur.

Cependant, la rumeur se répandit bientôt que Victor Hugo avait écrit pour la troisième édition des Derniers jours du prisonnier (24 février 1829)7 après avoir critiqué le sujet du livre. Voici un sketch parodique dans lequel il fait porter la responsabilité du livre dans la bouche des bourgeois et des bourgeoises satiriques : « La justification demande l’argument, pas l’émotion… Un criminel ? On ne le connaît pas… Ce livre raconte horreur… Le chapitre XXX est une critique de l’Église, et le chapitre XL est une critique de la famille royale… On sent l’émotion d’un auteur incompris, et la provocation qui éveille la curiosité du lecteur.

Mais le préambule le plus abouti fut celui de 1832. Victor Hugo y prend le temps de développer ses arguments. Il précise ses motivations : le livre est en réalité une défense de la peine de mort. Pour que ce plaidoyer soit valable, pour qu’il ait une valeur universelle, le protagoniste doit être aussi discret que possible, exécuté pour n’importe quel crime à un jour donné. Il donne des descriptions très réalistes des exécutions pour souligner leur brutalité, expliquant comment l’abolition de la peine de mort en 1830 a failli être votée par le Parlement mais pour de mauvaises raisons. Il a mis les magistrats au défi de considérer les bourreaux comme des «chiens du juge» et a suggéré qu’au lieu d’abolir brutalement la peine de mort, le système pénal soit remanié. Ainsi, trois ans après ce long monologue à la veille du couloir de la mort d’un condamné à mort suscité d’émotion, Victor Hugo a une solide défense de son argumentaire.

Composition de l’oeuvre
Le livre est divisé en quarante-neuf chapitres, dont la longueur varie d’un paragraphe à quelques pages. Ainsi, Victor Hugo prend le souffle du lecteur et partage avec lui l’état d’esprit d’un condamné à mort, ses éclairs de panique et sa longue agonie.

Il y a 3 endroits pour écrire :

Bicêtre, où le prisonnier évoque son procès, les chaussures du prisonnier et les chants d’argot. Là, il apprend qu’il vit son dernier jour.
Le Concierge, qui représente plus de la moitié du livre. Le criminel décrit son transfert à Paris, où il rencontre une femme au foyer, un architecte, un gardien qui demande des numéros de loterie, un prêtre et sa fille. Nous partageons sa douleur, sa douleur face à la mort, son repentir, sa colère et sa douleur.
Une salle de l’hôtel de ville où sont écrits les deux derniers chapitres, un long chapitre traitant de ses préparatifs et de son voyage à travers Paris jusqu’à la guillotine, et un court chapitre couvrant les minutes avant son “exécution”.
Il existe également plusieurs rétrospectives qui ont tendance à être des chapitres :

Chapitre Deux : Jugement
Chapitres 4 et 5 : Transfert et vie quotidienne de Bisetl
Chapitres treize et quatorze : Les clous et les forçats s’en vont
Chapitre vingt-huit : Souvenirs de la guillotine
Chapitre 33
Consignes actuelles :

 

bisset au chapitre 4
Donjons du chapitre X
Chapitre 37 Mairie
Place de Grève au chapitre trois
Des informations diverses:

Chapitre Huit : Compter le nombre de jours qu’il lui reste
Chapitre neuf : Un homme pense à sa famille
Chapitre dix : Présentation du criminel
Chapitre treize : Chaussures sur le criminel
Chapitre 16 Chansons de filles quand les hommes sont à l’infirmerie
Chapitre vingt-deux : Transférer le prisonnier au concierge
Chapitre 23 : Rencontre avec l’héritier dans le donjon du concierge
Chapitre trente-deux : Exigences de la gendarmerie concernant les numéros de loterie
Chapitre 42 : Rêver avec la vieille dame
Chapitre quarante-trois : Le condamné voit sa petite fille pour la dernière fois, et elle ne le connaît pas
Chapitre quarante-huit : Transfert à l’hôtel de ville
toilettes des prisonniers
Les prisonniers étaient envoyés à la guillotine.
personnage principal
On ne connaît pas son nom, mais c’est un gars ordinaire, ni un héros ni un menteur. Il semblait bien élevé, savait lire et écrire et parlait quelques mots de latin. Son riche vocabulaire contraste fortement avec l’argot parlé par les dames françaises ou chanté par les jeunes filles. Mais on ne lui trouve pas de grandeur particulière, il est le jouet des émotions classiques : peur, douleur, colère, douleur, lâcheté, égoïsme…

Jusqu’au bout, il espérait avec incrédulité une grâce royale qu’il ne pourrait jamais obtenir.

On découvre des bribes de sa vie passée : il a eu une mère et une femme qui sont brièvement évoquées, et l’homme semble s’être résigné à son sort. Nous nous concentrons davantage sur l’excitation de sa fille Mary, qui est sa seule visite avant son exécution, mais qui ne le connaît pas et croit que son père est mort. Il raconte également sa première rencontre amoureuse avec Pepa, une fille d’enfance. Nous ne savons rien de ses crimes, sauf qu’il a reconnu ce qu’il méritait et a travaillé dur pour se repentir. Cependant, en tant que croyant, il n’avait pas la spiritualité pour trouver du réconfort dans la prière, et il n’a pas non plus tenu compte des paroles du prêtre qui l’a accompagné du matin jusqu’à son exécution.

Le faux quarante-septième chapitre, censé raconter l’histoire de sa vie, était vide.

Victor Hugo explique en détail l’anonymat de son personnage. Il ne voulait pas que les gens puissent s’attacher à cet homme et le traiter comme un cas particulier, en disant “cet homme ne devrait pas mourir, mais d’autres peut-être… Il doit représenter tous les accusés possibles, innocents ou coupables, car d’après Victor Hugo, la peine de mort est une abomination pour tous ceux qui sont condamnés.C’est dans ce but qu’il apporte son lot de contradictions à travers les émotions des personnages.